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« Casse la démarche« , « seum« … Trois ans, deux mois et 28 jours après la victoire de l’équipe de France face à la Belgique en demi-finales de la Coupe du monde 2018 grâce au but de Samuel Umtiti, et ses divers apports sémantiques et de souvenirs marquants à l’historique rivalité franco-belge, les deux sélections ont à nouveau rendez-vous ce jeudi à Turin pour une demi-finale de Ligue des nations. Evidemment, la pression ne sera pas comparable, entre se retrouver à 90 minutes d’une finale mondiale ou d’un trophée assez mineur. Mais Axel Witsel et les Belges, comme certainement les joueurs de Didier Deschamps, comptent bien passer cette étape et affronter l’Espagne ou l’Italie dimanche soir à Milan.
« Ça va être un match assez spécial par rapport au passé et cette demi-finale. Mais on n’a pas ça en tête, a reconnu le milieu de terrain de Dortmund, assurant quand même que le « seum » a disparu dans les rangs belges. On veut faire un bon match face à une telle nation et rejoindre la finale. Contre la France, c’est toujours spécial, encore plus depuis 2018. Le seum ? C’est hors de ma tête, c’est derrière nous. 2018, c’était 2018. Une grosse déception sur le moment. On était tous déçu car on n’a pas été en finale, mais on était fier car on avait fait une grosse Coupe du monde. »