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Clermont montre les crocs. Sans surprise, le club auvergnat a vivement réagi ce jeudi à la nomination de Franck Azéma à la tête de l’encadrement du RCT. Celui qui a passé onze ans en Auvergne, d’abord comme adjoint puis en tant que manager, a fait ses valises voilà quelques mois. Azéma, remplacé depuis par Jono Gibbes, avait demandé à être libéré de ses deux dernières années de contrat. S’en est suivi un long bras de fer juridique qui n’est donc pas encore terminé. Et, comme on s’y attendait, les dirigeants ont fait part de leur courroux dans un communiqué intitulé « mise au point », une heure vingt seulement après la nomination officielle d’Azéma à Toulon. Le message est clair: Clermont entend toucher des indemnités « suite à cette rupture anticipée et unilatérale de son contrat d’entraîneur ».
« La SASP de l’ASM Clermont Auvergne a saisi la Commission Juridique de la Ligue Nationale de Rugby pour confirmer le droit à indemnités du Club, suite à cette rupture anticipée et unilatérale de son contrat d’entraineur, indique le communiqué du club. Elle a par ailleurs demandé à la LNR de se prononcer sur sa faculté d’homologation d’un nouveau contrat d’entraineur/manager professionnel, dans le cas d’un litige financier non réglé avec l’ASM. » Selon les informations de RMC Sport, le club auvergnat a en effet sollicité ladite commission juridique, jeudi après-midi, au sujet des deux questions posées dans le communiqué publié un peu plus tôt. Elle doit se réunir « très prochainement ». Une fois encore…