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Il a fallu quelques jours à Jean-Pierre Papin, rongé par la peine, pour réussir à à mettre des mots sur son émotion après le décès de Bernard Tapie, ancien président marseillais dimanche des suites d’un cancer à 78 ans. L’ancien attaquant de l’OM s’est confié dans une interview à La Provence, ce mercredi après avoir échoué à contenir son chagrin deux jours plus tôt. « JPP » revient sur les liens qu’il entretenait avec cette « figure paternelle » qui l’avait fait venir de Bruges en le chipant in extremis à Monaco en 1986.
« Je ne suis pas bien, confie-t-il dans le quotidien régional. Il m’a tellement aidé dans ma vie de famille, des choses très importantes. D’où les difficultés que j’ai à en parler. J’ai perdu quelqu’un qui comptait pour moi et je suis triste. Je vais porter son cercueil, ainsi que me l’a dit son fils Laurent, avec Basile (Boli, qui a ensuite décliné, selon La Provence, ndlr), Claude Lelouch, Jean-Louis Borloo, Bernard Hinault et sa collaboratrice Noëlle Bellone. Et ça va me bouleverser complètement. Ce n’est pas anodin. »