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Une rivalité entre la France et la Belgique, oui, mais une rivalité saine. Didier Deschamps a eu vite fait d’étouffer toute velléité de monter certaines déclarations montées en épingle ce lundi, trois jours avant une confrontation marquante entre les deux équipes, en demi-finale de la Ligue des nations. Une rencontre qui aura des allures de revanche de la demi-finale de la dernière Coupe du monde remportée par les Français sur la voie de leur deuxième sacre mondial. Un match pour régler des contentieux.
« Il y a toujours eu une rivalité parce que c’est frontalier, la même qu’on peut avoir avec l’Italie ou l’Espagne. Mais ce n’est pas le match de jeudi qui va changer quoi que ce soit à ce qu’il s’est passé (en 2018). La rivalité, elle a toujours été là, c’est une rivalité saine et sportive », a estimé le sélectionneur de l’équipe de France, en conférence de presse. Certaines déclarations des Belges avaient renforcé l’idée d’une rivalité toujours plus féroce, alimentée et entretenue depuis par d’autres déclarations.