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« Il y a de fortes chances pour que le hors-jeu soit automatisé en 2022. » L’ancien entraîneur d’Arsenal Arsène Wenger, n’y est pas allé par quatre chemin lors d’une rencontre avec la presse mardi à Paris. « Je suis tenu au secret, mais ça sera la prochaine des grandes évolutions de l’arbitrage », a expliqué le dirigeant français, qui s’exprimait en amont des Journées de l’arbitrage, qui auront lieu à partir du 20 octobre, et dont il est le parrain. De quoi faire taire, ou bien alimenter, les inombrables polémiques sur les hors-jeu, la dernière en date sur le but de Kylian Mbappé qui a offert la Ligue des nations à la France face à l’Espagne dimanche soir, grâce à une règle que même Deschamps a concédé ne pas connaître.
Si les décisions concernant le hors-jeu sont aujourd’hui parfois prises en ayant recours à l’assistance vidéo à l’arbitrage (VAR), avec des arbitres positionnés devant des écrans en régie, Wenger suggère donc que le football puisse passer à la vitesse supérieure dans l’intervention de la technologie pour régler les situations litigieuses.