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Steve Bruce à Newcastle, Nuno Espirito Santo à Tottenham, Dean Smith à Aston Villa, Eusebio Di Francesco au Hellas Vérone, Davide Ballardini au Genoa, Mark van Bommel à Wolfsbourg, Michel à Getafe, Ronald Koeman au Barça… Au tiers de la saison 2021-2022, les grands championnats européens ont déjà assisté à un, deux, et même jusqu’à cinq changements de coachs. Parce que le début d’exercice a été décevant, parce que les clubs ont décidé de prendre une « nouvelle orientation », et aussi parce que les trêves internationales facilitent la valse des techniciens. Mais en Ligue 1, rien.
En ce 11 novembre, après 13 journées disputées, les 20 entraîneurs présents pour l’ouverture du bal le 6 août sont toujours en place. Certains ont chaud, forcément, mais ils s’accrochent. Même Claude Puel, dont un départ de Saint-Etienne (19e) avait été évoqué, a été conforté ces derniers jours dans ses fonctions par le président exécutif Jean-François Soucasse.